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Brouillons pour un projet de constitution

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Salaires des hommes politiques



Le salaire d’un travailleur doit dépendre du service rendu à la collectivité, et de l’énergie mise pour acquérir les compétences nécessaires à ce poste.

Par contre la qualité des conditions de travail et l’intérêt suscité par le métier conduisent à accepter nue rémunération moindre compensée par cette rémunération virtuelle qu’est le plaisir à pratiquer la tâche choisie.

Si un salarié touche plus que son mérite cela signifie qu’il consomme plus de produits et de services que sa seule action lui aurait permis de mérité. Cela entraîne qu’un homme a travaillé pour lui assurer ce surplus et sera donc lui-même pénalisé en profitant moins des biens et services produits par la collectivité.

Un homme politique rend probablement un service plus important à ses congénères que le fonctionnaire de base, (encore que je n’en suis pas toujours persuadé), mais ses responsabilités sont plus grandes. Sa rémunération est logiquement relativement élevée. Mais elle ne devrait être décidée que par les électeurs, jamais par les hommes politiques eux-mêmes qui se retrouvent dans ce cas devenir juge et partie.

Alors comment évaluer ce niveau salarial ? S’il est trop bas, peu de candidats souhaiteront faire ce métier, s’il est trop haut c’est la foire d’empoigne à qui gagnera la bonne place.

Dans le premier cas, ne subsisteront que ceux qui trouvent une vraie passion dans la gestion politique du pays puisque la rémunération n’est pas vraiment motivante. Mais ce revenu faible risque de les rendre sensibles à des corruptions externes.

Dans le second cas ne surnagerons de la mêlée que les plus retords, les plus avides à profiter du pactole, peu importe les idées, pourvu que la place soit acquise pour la satisfaction de l’ego et du porte-monnaie. Avec une telle mentalité, il apparaît vite que l’influence monétaire du moindre lobby est probablement également assurée.

Puisque dans les deux cas, les possibilités de corruption sont envisageables, autant souhaiter la première solution plus économique et plus sage, ce qui n’empêche pas de mettre en place des garde-fous contre toute possibilité de corruption.

Posez vous les questions : Dans quelle situation sommes nous aujourd’hui d’après l’observation de l’offre et de la demande en élus politiques ? De quels hommes politiques avons nous vraiment besoin ? Quelles sont les dernières décisions prises par nos hommes politiques actuels à propos de leurs salaires en cette période de pénurie budgétaire ?

Page écrite le 10-01-2007

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Intervenantmozygus 11-10-2008

l'autre question subsidiaire à celle de la rémunération directe. la retraite et privilèges en nature et monétaire. en France ils y sont myriades. les retraites son impropres, irresponsable vis a vis des autres citoyens, la prime des collaborateurs donné à la gestion propre est impensable. ils devraient etre considéré comme des fonctionnaires, rien de plus, peut-être les mieux payés de tous, de part leur responsabilité incommensurable. mais la représentativité de la nation ne doit pas leur donner l'excuse de l'opulence. un cadre doit etre donné et par la même controlé pour différencier politique et vie privée. ainsi un logement de fonction moyen et non de prestige comme aujourd'hui.

plutot que de distribuer une retraire dorée pour les politiques, favorisons plutot la réinsertion professionnelle de nos dirigeants. il ne faut pas se voiler la face, beaucoup de grands élus, vivent de la politique, entre autre par le cumul des mandats. alors pour éviter une réinsertion difficile, un quota de mandat serait appréciable. ainsi il resterait à nos politiciens le choix du cumul sur une courte période ou une longue carrière à responsabilité unique successive. pour un pays serein et un budget sain, il nous faut réduire les dépenses publiques ou indésirables.

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IntervenantTrazibule 11-10-2008

Je regrette fondamentalement que s’occuper de politique soit devenu un métier, ce qui se traduit souvent par une tendance de rejet de tous les nouveaux élus qui ne sont pas du sérail.

Conséquences, ils ont souvent totalement déconnectés des problèmes quotidiens de ceux qu’ils sont censé représenter. Ensuite ils se connaissent entre eux et se retrouvent vite solidaire dès qu’il s’agit de leur métier (amnistie, privilèges, etc.…) au détriment de leurs électeurs. Pour arriver à leur fin peut importe le camp choisi, c’est juste une question relationnelle dans le jeu du pouvoir, l’idée de projet politique n’est plus qu’un argument stratégique bien loin de la réflexion et encore plus de la conviction.

Cette professionnalisation du politique décrédibilise ces censés « représentant du peuple » et conduit à une lassitude populaire qui ne se réveille qu’à l’apparition d’une candidature Coluche par exemple, pourtant vite éliminée par l’ensemble des pouvoirs politique appuyés par leurs outils médiatiques. Même l’intérêt populaire remarqué pour la question de constitution européenne fut vite réapproprié par la gente politicienne, qui n’a pas hésité à n’en faire qu’à sa tête avec un mépris de la volonté populaire d’une arrogance révélatrice.

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