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Observons comment la vie gère l'eau
pour mieux comprendre le rôle de l'Etat,
dans sa gestion économique...
Réflexions

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Comment la vie gère l'eau : un modèle pour une politique économique.


S’il n’y avait point de vie sur la terre, l’eau éroderait les continents jusqu’à les transformer en plaines sablonneuses entourant des collines stériles.

Constatons que la vie fait tout pour retenir l’eau, ralentir son écoulement, la stocker même, des mousses, des herbes jusqu’aux arbres, ils la freinent de leurs branches et de leurs feuilles, même les castors créent des barrages. La vie remonte l’eau autant qu'elle peut : Les racines la pompent depuis le sous-sol pour l’élever dans les airs, les animaux viennent boire au creux des vallons pour la pisser plus haut dans les collines.

L’action de la vie vis à vie de l’eau est de freiner l’écoulement de l’eau, la remonter quand c’est possible, jusqu’à même l’évaporer pour quelle retombe plus haut en pluie ou en neige. 70% des eaux de pluies viennent de l’évaporation de la végétation.

Comprendre l’action de la vie sur l’eau aide à comprendre et agir sur le plan économique.

L’argent comme l’eau a tendance et couler vers les plus grandes pentes les plus grands profits. Quand le torrent creuse sans frein plus profondément sa vallée, il recueille plus d’eau encore, et creuse encore plus. Ceux qui réalisent les plus gros profits ont encore plus de facilité que les autres pour accroître leur fortune.

L’Etat s’il veut jouer son rôle de protéger la vie de tous, se doit de freiner, canaliser, retenir ces flux monétaires pour qu’ils irriguent le plus de régions possibles, et autant que possible pomper dans les grandes zones d’accumulation de monnaie pour venir arroser les zones désargentées aux sommets de la misère.

Mais lorsque l’Etat devient l’exécuteur des grandes fortunes il va faire exactement le contraire : Réduire leur fiscalité, et laisser l’érosion monétaire détruire la vie et alors les grandes fortunes qui s’enrichissent sur l’exploitation des plus faibles.

Quand deux grands fleuves se côtoient, celui qui creuse le plus, finit par avaler l’autre, laissant un profond ravin dans un paysage aride.

De même ces fortunes finissent par être en concurrence entre elles, cela se traduit en une lutte absurde et fratricide dont les moins riches subissent les dégâts et cela finit en guerres.

Pomper dans les coffres des trop riches pour arroser les poches des plus pauvres et un des rôles essentiel de l’Etat afin d’assurer le meilleur bonheur possible au plus grand nombre.

C’est même faire justice car la richesse actuelle est moins issue d’une compétence à produire que celle de savoir tirer profit du travail des autres plus faibles que soi les affaiblissant encore plus.

Si l’Etat ne joue plus ce rôle primordial, à quoi peut-il bien servir ? Juste servir ceux qui sont en postes de responsabilité ? Ce que beaucoup disent constater aujourd’hui !

Le partage, la solidarité sert à tous, la compétitivité ne sert qu’à quelques gagnants : ceux qui ont la chance d’être encore sur la piste, profitant souvent que d’un héritage culturel et financier sans réel mérite personnel. Il n’a guère d’espoir de s’enrichir, celui qui est généreux.

Or aujourd’hui nous faisons des courbettes aux plus grands voleurs et nous méprisons ceux qui se sont fait voler et exploiter.

Il ne devrait jamais y avoir de mépris ou de honte dans la pauvreté, car personne ne choisit de vivre dans la misère.

Page écrite le 19-10-2025

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