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La situation économique internationale actuelle exige de trouver des solutions nouvelles car face à une crise systémique
il faut rechercher d'urgence une réponse systémique.
[ lien : "www.trazibule.fr/systemique.php" ] Suite aux propositions
sur les comptes sociaux et l'emploi
[ lien : "www.trazibule.fr/solution.php" ], voici des propositions pour une monnaie.
Nécessité d’une nouvelle monnaie
Crise monétaire
Nous vivons actuellement une crise monétaire majeure, les endettements atteignent des valeurs telles qu’il n’est pas
vraiment envisageable qu’ils soient remboursés un jour, surtout qu’il n’existe pas de fonds disponibles pour ces
remboursements même pas en potentiel de production de peuples déjà sous alimentés pour beaucoup et même dans les
pays riches sous-employés, incapables de revenir au plein emploi faute de ressources matérielles d’une terre
atteignant sas limites en matières première, en produit de pêche, de productions agricoles et produits
Proposer une nouvelle monnaie pour quoi?
Les monnaies actuelles est construite sur des règles qui favorisent de fait les plus riches en les enrichissant avec
toujours plus de facilité et appauvrissent les plus pauvres leur interdisant mécaniquement de sortir de leur pauvreté.
Comment ?
Pour les pays par le principe des changes monétaires qui les paye leur travail et leurs production en monnaies locales
sans valeur mais leur impose d’acheter les produits étranger en monnaie fortes de haute valeur.
Pour les familles en leur proposant des crédits d’autant plus chers qu’ils sont moins aisés, ce qui les conduit à tout
payer plus cher que les autres, ce qui augmente encore leur pauvreté. Voir cet article.
[ lien : "www.trazibule.fr/finance-des-menages.php" ].
Cette monnaie accroit donc de fait les inégalités au lieu de faciliter les échanges ?
Pourquoi ces échecs ?
Par le principe même de notre logique économique qui a inversé le sens primitif de cette valeur, qui est passée
de la sage gestion familiale qui vise à satisfaire à long terme les besoins collectifs des hommes à une science
très élaborée visant seulement le profit immédiat, des seuls propriétaires des moyens de production.
L’économie devrait être au contraire la science de l’équilibre des échanges seule façon d’en assurée leur pérennité.
Reconstruire les anciennes monnaies ?
La situation économique internationale actuelle exige donc de trouver des solutions nouvelles car face à une crise
systémique il faut rechercher d'urgence une réponse systémique. Suite aux propositions sur les comptes sociaux et
l'emploi, voici des propositions pour une nouvelle monnaie.
Propositions alternatives
Monnaie consommable
L’idée d’une monnaie consommable, a déjà expérimentée avec succès parfois même au niveau d’une région. Mais les
pouvoirs en place ont toujours combattu cette idée car elle ne permet pas l’accumulation de valeur et par conséquence
une accumulation de pouvoir par le contrôle de ces valeurs.
Cette pratique existe pourtant actuellement de façon marginale, matérialisé par exemple par les tickets restaurants.
Cette idée d’une monnaie « consommable » peut donc être reprise par cette proposition monétaire mais en acceptant
une cohabitation avec les monnaies actuelles. Si une « étanchéité » est réelle entre ces type de monnaie est assurée,
cela permettra sa survie au milieu des monnaies traditionnelle, sans être entachées des défauts de celles-ci.
Systèmes d’échanges locaux
Les systèmes d’échanges locaux sont tolérés tant qu’ils restent très marginaux, mais dès que leur volume atteint une certaine dimension ils sont considérés comme des facturations au noir exempts de tva et vite combattus par les états.
Ces systèmes démontrent pourtant leur efficacité et dynamisent les échanges et la convivialité.
Cette nouvelle monnaie proposée, reprend le thème d’un suivi des échanges, c'est-à-dire une comptabilisation non anonyme des échanges toujours équilibrés suivant le principe de la balance comptable.
Systèmes à base nulle
L’idée de la balance comptable entrainerait un système à base nulle ou tous les comptes positifs et négatifs s’équilibrent exactement. Cela présente déjà des avantages mais il reste un problème majeur. La nécessité d’existence de comptes négatifs qui peuvent devenir illimités. A terme, cette absence de limite peut générer des richesses aussi infinies que les dettes sans espoir de voir l’n combler l’autre. Ce que nous vivons actuellement d’ailleurs.
Cette solution n’est pour cela pas valable.
De plus la monnaie en circulation représentant les valeurs échangées et le travail produit ne peut pas être logiquement négative, car que serait un travail négatif ? Une absence de travail ou de denrée vaut zéro pas quelque chose de négatif.
Buts de cette nouvelle monnaie
Contrôle démocratique
La monnaie ne doit pas être soumise sans contrôle au bon vouloir d’états, banquiers ou techniciens, aussi compétents soient-ils. Il est trop facile pour eux de faire des erreurs de gestion puis de réparer cela en imposant la réparation à l’ensemble de la population, comme nous sommes en train de le vivre. Avec ce genre de pratique, le fautif devient son propre juge et saura toujours s’absoudre.
L’argent doit n’être que le reflet des l’échanges, pas le reflet du pouvoir comme l’impose la monnaie fiduciaire. Le volume monétaire doit s’auto générer par les transactions en ne dépendant d’aucune décision arbitraire.
Les lois monétaires doivent être totalement publiques et transparentes, dépendante d’une logique et non d’un pouvoir.
Pas d’inflation
Actullement La monnaie nécessaire pour mesurer les marchandises échangées continue son existence au-delà de la consommation même de ces marchandises,
contrairement à une reconnaissance de dette qui s’éteint lorsqu’elle est honorée. Cette pérennité de la monnaie permet l’accumulation, pratique pour
permettre de grands investissements mais catastrophique pour les échanges à long terme.
L’inflation est issue du fait que par l’accumulation des profits la monnaie a tendance à se concentrer dans les mêmes poches, celles de structures
les plus riches, les besoins monétaires se traduisent alors par des émissions nouvelles de monnaie ce qui génère de l’inflation, seule façon de vider
les coffres trop pleins sans les ouvrir.
D’une certaine façon cette monnaie idéale à inventer doit être créée par les transactions et disparaître de la circulation lors d’une transaction inverse:
La consommation. Vite dit: Je créer des marchandises, la société me reconnais cette création par cette monnaie, je consomme ces marchandises, cela soldee
cette reconnaissance de dette. Cette monnaie est d’une certaine façon éphémère. Etalonnée sur le travail son volume ne doit jamais dépasser le volume des échanges ce qui assure sa stabilité.
Vers l’équilibre social
Cette monnaie doit conduire vers un équilibre social, faire que la grande richesse soit toujours possible mais seulement pas plus d’efforts, de travail,
de chance ou et de compétences, et non par le privilège d’une situation, et faire en sorte que la pauvreté ne soit pas une logique qui s’aggrave
elle-même comme le décrit cet article
[ lien : "www.trazibule.fr/finance-des-menages.php" ]..
Principe de la balance comptable
Malgré toutes les tentations je constate que même pour les moins honnêtes, une valeur résiste, c’est la notion de balance comptable, qui
interdit à un banquier aussi peu scrupuleux soit-il de directement créditer un compte sans contre partie. Si cette notion a résisté
jusqu’à présent, cela montre que nous pouvons nous fier à ce concept. Il devient logique de construire une monnaie sur ce principe.
Chaque échange monétaire doit être équilibré, comme cela se passe entre deux comptes bancaires, mais d’une façon généralisé. Tout échange
revient à débiter un compte pour en créditer un autre. Cela impose donc une fin de l’anonymat dans les échanges monétaires. C'est logique
si l'on considère que la monnaie est une reconnaissance de dette donnée par une personne à une autre au nom de toute la collectivité afin
qu'elle lui reconnaisse cette valeur. Un échange annonyme enlève logiquement cette reconnaissance de valeur collective.
Mise en place d’une concurrence monétaire (un des principes de notre projet de constitution
[ lien : "www.trazibule.fr/concurrence.php" ]
Mais si cette fin de l’anonymat peut déplaire, il reste toujours la possibilité de réaliser une transaction discrète dans une monnaie
traditionnelle, car il est totalement exclu que cette nouvelle monnaie se substitue aux anciennes. Elle n’a pour but qu’assurer une
forme d’ancrage des valeurs visant à réguler l’ensemble des échanges financiers. Une forme de roue de secours, bienvenue face à
l’inflation catastrophique qui s’annonce dans un avenir très proche.
Investissement et spéculation
L’épargne ne prend plus le même sens dans cette monnaie et sera difficilement cumulable avec excès par une forme de prélèvement progressif.
L’investissement pour pure spéculation financière perd beaucoup d’intérêt au profit de l’investissement nécessaire pour les productions de grande ampleur.
Principes de fonctionnement
Etalon
Afin qu’elle reste stable (pas d’inflation ni de déflation), ce sont le niveau de vie et les salaires qui définissent sa valeur, à l’inverse
des monnaies actuelles qui mesure les salaires en valeur monétaire. Son étalon est donc le temps de travail. Elle a une valeur universelle
donc internationale, la mesure du temps est indépendante de tous critères économiques ou sociaux. Sa valeur reste donc constante, aucune
inflation ou déflation n’est possible par les critères de son fonctionnement. Pusique la monnaie doit être reconnue collectivement,ce n'est pas
l'heure de travail individuelle qui défini la valeur unitaire, surotu que chacun n'a ni le même rendement ni les mêmes compétences, mais c'est
le temps de travail collectif qui contruit sa valeur.
Echange tripartite
Chaque échange est toujours tripartite : Le vendeur l’acheteur et la participation sociale. La somme de l’échange est toujours nulle.
Participation sociale
Cette participation sociale n’est pas un impôt qui tomberait dans une caisse de l’état ou une caisse sociale, mais sert à verser le minimum vital calculé automatiquement qui sert précisément à réguler la monnaie. Cette participation sociale est une forme de «frais de fonctionnement» de cette monnaie, qui alimente principalement le versement des minimums d’existence ou allocation sociales sur tous les comptes de chaque citoyen quel que soit son âge ou sa condition.
Contrôle monétaire :
Cette participation permet d’agir sur le volume monétaire en régulant par le retrait mécanique de plus ou moins de liquidités.
Cette allocation permet d’agir sur le volume monétaire en régulant par l’ajout mécanique de plus ou moins de liquidités.
Participation progressive
Plus un compte est positif plus la participation sociale est forte mais augmente toujours de façon inférieure au gain, Gagner plus reste toujours rentable mais avec une marge asymptotique.
Contrôle monétaire :
Cette variation de participation permet d’agir sur les extrêmes monétaires en freinant l’extrême richesse et l’extrême pauvreté. Cela entraine de fait un équilibre social sans pénaliser ni ceux qui recherchent la richesse ou ceux qui préfère le droit à la paresse.
Comptes faibles et négatifs
Aucun compte ne peut jamais être négatif. Cela reprend l’idée évoquée plus haut qu’un système acceptant les comptes négatifs devient un jour au l’autre mathématiquement divergent.
Allocation sociale
Tous les comptes perçoivent mensuellement l’allocation sociale calculée en fonction de la réussite économique de l’ensemble de la société, et du niveau de prix de l’heure de travail.
Le versement du minimum vital est ajusté en fonction des résultats mensuels de l’état lui-même, des règles individuelles d’encaissement (voir prises en charges, taux validé par les périodes de travail, etc.…) il tient compte du cours de la vie et maintient les prix des mêmes denrées au mêmes montants. C’est plus le Smig mesuré en monnaie qui s’ajuste au cours de la vie, c’est la monnaie elle-même qui s’ajuste au cours du Smig c'est-à-dire au temps de travail devenu étalon.
Contrôle monétaire :
Cette allocation permet d’agir sur le volume monétaire en régulant par l’ajout mécanique de plus ou moins de liquidités.
Fiscalité
Les impôts actuels restent identiques, taxes, TVA, impôts sur le revenu etc., Ils sont réglables dans la forme de monnaie au choix du contribuable. Tout ce que l’état reçoit en monnaie sociale n’est reversé qu’en monnaie sociale, et inversement. Il y a étanchéité de fait entre les deux types de monnaie ce qui maintien une concurrence réelle entre elles.
Change
Transformer cette monnaie en argent liquide ?
Impossible car il n’est pas possible de changer cette monnaie en une autre, même si un taux de comparaison reste chiffrable. Impossible de mettre du papier dans la machine, impossible de sortir du papier monnaie de la même machine. L’achat de monnaie papier par la monnaie sociale nécessite un vendeur qui fasse une transaction en monnaie sociale. Cela est la conséquence directe du système d’échange nécessitant deux comptes libellés en cette même monnaie.
Rapport avec les monnaies existantes
Elle doit rester une monnaie concurrente aux monnaies actuelles (ce qui respecte un des principes du projet de constitution proposée sur ce site) et ne les remplace pas, mais il n’existe aucun change possible avec les autres monnaies, car elle est générée par l’activité de l’ensemble de la population, et totalement indépendante de tout pouvoir ou banque.
Fonctionnement pratique
Appareils électronique (voir ancien article sur ce thème
[ lien : "www.trazibule.fr/monnaie-technique.php" ])
Cette transaction peut être réalisée via un appareil électronique quelconque, il est vrai que dans le domaine informatique, la tricherie est possible, c’est pour parer à cela que l’échange n’est validé que sous certaines conditions. Un peu comme les votes sont contrôles par toutes les parties, et annulés en cas de litige, un échange monétaire est « contrôle » par tous les interlocuteurs de l’échange et toujours annulable puisque les comptes sont mémorisées et on anonymes.
Les outils nécessaires à l’échange peuvent être multiples, Monéo, téléphone portable, bornes, et même un support papier, etc… l’essentiel est que la transaction soit validée par la réception de messages cohérents entre eux.
Transaction élémentaire
Deux acteurs, personne physique ou morale, entreprise, ou même l’état lui-même, sont identifiées sont d’accord sur
le montant pour un échange quel qu’il soit le montant passe d’un compte à l’autre avec au passage le prélèvement
de la participation sociale dont le taux est proportionnel au solde du compte receveur, ce taux il peut même être
négatif pour un compte d’un montant très faible.
Le premier compte est débité, le second crédité moins la participation sociale d’un taux très faible, inférieur à 1%
(simulations en cours d’étude) variable en fonction du niveau du compte crédité, et automatiquement calculé.
Le troisième compte, la « participation sociale », compte abstrait crédité par ces échanges et débités par le
versement des allocations sociales.
Pratique
Matériellement chacun indique un montant et la validation entre les deux comptes - En cas d’appareil électronique, un simple contact suffit entre eux (Top là !) – génère sur le réseau électronique trois messages qui doivent correspondre
Les outils nécessaires à l’échange peuvent être multiples, « Monéo », téléphone portable, bornes, par appareil spécifique, (voir ancien article sur ce thème) une borne publique, ou un protocole à distance, et même un support papier, etc.… l’essentiel est que la transaction soit validée par la réception de messages cohérents entre eux, il n'est réel que quand le réseau a reçu les messages des deux parties.
Tout appareil électronique, public ou privé est habilité à enregistrer la transaction qui n’est valable que lorsque les trois messages envoyé au réseau informatique gérant cette monnaie correspondent : Ceux des deux acteurs et celui du fond de gestion social de la monnaie : Même identifiant, somme des montants nulle (balancés), mêmes date-heure.
Sécurité identification
Il est possible d’envisager la biométrie et mot de passe avec possibilité de contrôles renforcés dès que les montants augmentent imagions par exemple nu système mesurant le niveau d’adrénaline ou de conscience, ce qui interdirait toute épreuve de force ou de stupéfiants.
Contrôle après transaction:
De toute façon il est toujours possible de faire inverser une transaction qui s’avérerait frauduleuse via le résultat d’une action judiciaire.
Cherchons les failles !
Vol possible de l’appareil ?
Peu envisageable, à cause de l’identité des comptes et le gain est inutilisable sans se révéler comme détenteur des sommes illégales.
Trafic électronique ?
Difficile aussi car la somme des échanges dans une transaction doit toujours être nulle. Cavalerie impossible. Fabrication de faux appareils sans intérêt car il ne peut y avoir échange que par communication avec un autre appareil, seul deux faux pourraient communiquer. Jamais un juste et un faux. Mais dans ce cas les deux voleurs se volent l’un l’autre !
Maintenant ne soyons pas dupe l’imagination des larrons n’a pas de limite.
Fausser les communications ?
Transformer un accord sur un montant en un autre montant ? Il faudrait que les deux appareils soient trafiqués pour que les communications soient cohérentes, mais forcément l’un des deux est perdant et les traces restent visibles et réparables.
Comptes multiples
Cela serait pratique pour tricher en diminuant le taux de participation sociale puisque celui-ci augmente avec le solde courant du compte.
La création d’un nouveau compte (compte à zéro) est faite librement, il est possible d’avoir plusieurs appareils avec des identités différenciées.
Arnaque possible: cela peut permettre de multiplier les comptes pour diminuer les taux de taxes, mais cela oblige à une multiplication des identités officielles, ce qui cause d’autres difficultés. En contrepartie la multiplication des comptes entrainera de fait une multiplication des transactions donc un accroissement du prélèvement social avec en conséquence soit une augmentation des allocations sociales, soit une diminution du taux de prélèvement collectif.
Acquérir deux appareils et vider le compte de l’un au profit de l’autre puis détruire le premier, ou simuler une transaction fictive en envoyant un faux message d’accord d’un second appareil appartenant à un inconnu.
Rien n’empêche de prendre deux identités et de vider l’une sur l’autre pour bénéficier des aides aux comptes déficitaires, ou de diviser sur plusieurs comptes une fortune pour diminuer les taxes relatives. Sauf la création d’une identité unique et contrôlée par personne physique ou personne morale.
Que les taux de prélèvement social s’envolent sous la férule d’une institution autoritaire ?
Difficile, car la monnaie libre papier cohabite et sert d’exutoire en concurrençant la monnaie démocratique en limitant ses excès, mais cette situation devient impossible car ce taux n’est pas décidé mais calculé via une formule mathématique publique.
Il n’existe pas d’institution gérant cette monnaie, et fixant un prélèvement social. Les seules actions sont des variations de taux mais celle-ci découlent du fonctionnement de la monnaie lui-même pas d’un bureau quelconque.
Comme une constitution devrait être écrite connue, signée par tous les citoyens, cette monnaie est acceptée librement par ses utilisateurs, ils peuvent très bine ne pas l’accepter et se contenter des monnaies actuelles car elle n’est jamais imposée.
Détournements frauduleux
Un fonctionnaire immoral voudrait par exemple se servir dans la caisse de l’état: Il doit obtenir qu’un gestionnaire du compte de l’état ou l’être lui-même (appareil identiques quelque soit le montant en compte) pour accepter de faire la transaction sachant que d’une part la trace reste et que les deux identités sont mémorisées (surtout dans le cas de l’état !) et que d’autre part toute transaction jugée frauduleuse est instantanément annulable par l’autorité judiciaire. Comme il n’est pas possible de sortir de la monnaie, il ne resterait que la possibilité d’acquérir des biens matériels. (Ce qui n’est pas pire qu’aujourd’hui mais certainement moins discret). En plus la pénalisation par amende ou par dédommagement devient plus facile par saisie.
Reste que la saisie sur compte doit passer par l’acceptation de cette saisie par l’intéressé le contrôle de l’appareil restant inchangé, il n’est pas possible de forcer qui que ce soit sauf en obtenant son acceptation volontaire.
Au pire il est possible de déposséder la personne de son compte, celui étant détruit, et remit à zéro dans les comptes de l’état créditant le compte allocation sociales.
Perte ou destruction d’un appareil : En cas de destruction déclarée, le compte de ce numéro est soit remis à zéro (transfert à l’état), soit la somme est transférée sur un nouvel appareil avec la même identification (perte déclarée), soit transféré à un ou plusieurs autres appareils différents (comme un héritage) sous réserve d’acceptation judiciaire à défaut du détenteur du compte. L’ancien compte est dé validé.
Compte silencieux (aucun échange):
Possibilité d’une taxe d’inutilisation qui réduit progressivement le compte à zéro pour terminer par la dévalidation de l’appareil. Une recherche suite à la disparition de son utilisateur peut aussi être enclenchée, en cas de décès plusieurs règles peuvent être mises en place, entre le partage intégral à la collectivité (allocation sociale), et le versement aux ayant droits, toutes les solutions intermédiaires peuvent être réfléchies.
Processus technique pour un appareil spécifique
L’électronique de l’appareil doit être quasi «mécanique» très simple pour être le plus difficilement manipulable. Mais d’autres techniques peuvent utiliser la même logique.
CONCLUSIONS
Voilà des pistes à approfondir. Il ne semble pas nécessaire en l’état actuel de ces réflexions d’ajouter d’autres critères et c’est souhaitable car
de la simplicité relative du système et de sa publication naitra la confiance dans cette forme monétaire.
Voilà une proposition de monnaie très imparfaite car toujours en cours de réflexion. Elle n'a pas la prétention d'être
réaliste pour le moment, mais la situation actuelle cherche tellement un espoir qu’il a semblé bon de mettre ce
brouillon en ligne avant même qu’il soit vraiment aboutis. Loin d’être parfait, il paraissait souhaitable que ces idées
permettent au moins de sortir des habitudes séculaires qui nous ont conduit à une telle impasse économique.
Sur le même principe que la proposition d'une constitution
[ lien : "www.trazibule.fr/intro.php" ], le but n’est pas de donner une solution
mais de suggérer de nouvelles suggestions concurrentes à l’idée régnante qui nous fait tant de dégâts en cette période.
Avec cette proposition cette solution économique et sociale
[ lien : "www.trazibule.fr/solution.php" ] proposée trouve alors toute sa logique
de fonctionnement.
Voilà reste à mettre tout cela en forme mais car toutes les pièces du puzzle sont quasiment élaborée en vrac, reste à les
emboiter pour trouver ce qui manque.
ANNEXE
Pour mieux comprendre cette proposition, acceptez de comprendre le principe de la "TAC"
[ lien : "www.trazibule.fr/tac-expliquee.php" ]
qui déplaçe les charges sociales du salariat vers la consommation (Voir ces simulations
[ lien : "www.trazibule.fr/tac-simulation.php" ]
bien que très simpliste).
Approfondissement de ces propositons monétaires.
[ lien : "www.trazibule.fr/monnaie-formules.php" ]